SilentKid est un chanteur Suisse évoluant dans des sonorités inspirées de la musique rock et pop punk avec une légère touche de trap, notamment dans ses instrumentales. Il publie occasionnellement des morceaux à partir de 2019, puis dès 2023 et la sortie du premier volume de son projet « Ex Nihilo », littéralement "[à partir] Du Néant", il affirme clairement sa volonté artistique.
C'est en 2024 que tout s'accélère pour lui lorsqu'est publié le second volume, Ex Nihilo II, qui comprend ses morceaux phares, « 27 » et « No Signal ». Tandis que le premier semble lui faire rejoindre le tristement célèbre Club des 27 par ses lyrics torturés, le second, à l'opposé, fait clairement partie de ses titres les plus enjoués. Et cette dualité, SilentKid l'exploite tout au long du projet, nous transportant tantôt dans ses jardins, tantôt dans ses enfers. Il paraît clair qu'il ne veut rien éluder, rien adoucir, mais autant nous montrer le chemin parcouru que nous faire écouter l'écho de ses démons.
Pour illustrer ce second volume, SilentKid a choisi de développer davantage la scène de l'éclipse du manga Berserk, déjà présente dans Ex Nihilo I. En arborant cette fois un visage brûlé par cette dernière, il nous fait comprendre à quel prix sa renaissance s'opère.
SilentKid est un chanteur Suisse évoluant dans des sonorités inspirées de la musique rock et pop punk avec une légère touche de trap, notamment dans ses instrumentales. Il publie occasionnellement des morceaux à partir de 2019, puis dès 2023 et la sortie du premier volume de son projet « Ex Nihilo », littéralement « [à partir] Du Néant », il affirme clairement sa volonté artistique.
C’est en 2024 que tout s’accélère pour lui lorsqu’est publié le second volume, Ex Nihilo II, qui comprend ses morceaux phares, « 27 » et « No Signal ». Tandis que le premier semble lui faire rejoindre le tristement célèbre Club des 27 par ses lyrics torturés, le second, à l’opposé, fait clairement partie de ses titres les plus enjoués. Et cette dualité, SilentKid l’exploite tout au long du projet, nous transportant tantôt dans ses jardins, tantôt dans ses enfers. Il paraît clair qu’il ne veut rien éluder, rien adoucir, mais autant nous montrer le chemin parcouru que nous faire écouter l’écho de ses démons.
Pour illustrer ce second volume, SilentKid a choisi de développer davantage la scène de l’éclipse du manga Berserk, déjà présente dans Ex Nihilo I. En arborant cette fois un visage brûlé par cette dernière, il nous fait comprendre à quel prix sa renaissance s’opère.